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Intrigue février, sujet number two

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Sons of Liberty

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Intrigue février, sujet number two _
MessageSujet: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyDim 16 Fév - 15:24


Intrigue février, sujet number two





La St Valentin. Tout le monde crie haut et fort à quel point cette fête inventée par les fleuristes les débectent. Mais qui au lycée n’a jamais était terriblement flatté par une lettre d’un admirateur secret ? Aller ne vous mentez pas à vous-mêmes juste histoire de vous la jouer super cool et totalement froid face à cette fête. Tout le monde aime savoir que quelqu’un, quelque part, pense à lui. Alors lorsque cette lettre est arrivée chez vous, dans sa sublime enveloppe avec votre adresse calligraphiée vous vous êtes sentis redevenir adolescents. C’est normal, l’être humain aime que son égo soit flatté de la sorte. Cette invitation écrite à la main sur un papier à lettre comme à l’époque des grandes sérénades sous les balcons à piquer votre curiosité au vif, impossible de résister à cet appel. Alors c’est dans vos plus beaux habits que vous vous êtes rendus à l’endroit du rendez-vous, une sublime salle de réception où votre Valentin secret ou Valentine vous attend. Vous rêvez à cette soirée à ce qu’elle pourrait vous offrir, ou alors vous êtes simplement curieux de savoir de quoi il en retourne, ou vous n’aviez rien d’autre de mieux à faire ce soir alors autant s’occuper un peu.

Oui sauf que tout ne se passe pas comme prévu. Cette petite soirée n’a soudainement plus rien d’agréable. Après avoir fait un peu connaissance avec votre partenaire qui vous attendait bien sagement à une des tables si bien décorées, la lumière s’éteint. On croit d’abord à un petit incident, mais lorsque quelqu’un remarque que les portes sont désormais verrouillées, vous vous rendez soudainement compte que ce n’est pas un jeu. Ou plutôt si s’en est un pour les Sons of Liberty qui ont décidé de s’amuser avec vous ce soir...

Bonne chance.

Fonctionnement :
+Comme vous êtes pas mal nombreux dans le sujet, un ordre de passage a été instauré, mais y a pas de soucis pour le changer si vous vous arrangez entre vous :
Alec, Kayden, Leonard, Benjamin, Zeke, Mickey , Abigail, Elliott, Lochlan
+Pour chaque réponse il vous sera demandé un maximum de 800 mots, pas plus, histoire que les sujets restent rapides.
+Si quelqu'un n'a pas répondu, son tour sera passé après deux jours sans réponse.
+Le mj peut intervenir quand bon lui semble, ses interventions sont à prendre obligatoirement en compte.


(c) kusumitagraph'
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Alec M. Kinney

Alec M. Kinney
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Intrigue février, sujet number two _
MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyLun 17 Fév - 17:09

    Flipper jusqu'à crier au secours et se vautrer vers son prochain, ça a jamais été la réaction principale d'Alec. Faut le dire, il est pas spécialement courageux, ne sera pas le type criant les femmes et les enfants d'abord parce que l'égoïsme c'est plus son trait de caractère principal mais bon, ça ne l'empêche pas de s'inquiéter à moitié et de se dire que y'a un truc pas net qui se trame dans les parages. Perspicace quand il veut l'oiseau, hein? C'est ce qu'il essaie de se dire du moins. On serre les lèvres, les fesses aussi si besoin, on sait pas si quelqu'un va vous attaquer dans le noir. Il essaie de se rappeler pourquoi son cul a justement atterri ici dans ce restau... Une lettre débile. Faut croire que ça marche toujours la St-Valentin même quand on ne s'y attend pas... Dans son cas, c'est pas vraiment par espoir d'y rencontrer le grand amour, juste histoire de ne pas finir seul au lit, parce qu'il est comme ça, un peu con et désespérè. Le mec peut bien se targuer de n'en avoir rien à foutre, écouter Bruce Springsteen en fumant des joints sur son canapé, ça va bien deux minutes. Les vinyles il paraît que ça aide en rien pour un orgasme... Quoique pour lui, il y en aurait bien quelques-uns qui feraient l'affaire en se concentrant vraiment et en se remémorant des ébats édulcorés qu'il a eu l'occasion d'avoir sur Hit me with your best shot et autres chansons toutes aussi entraînantes. Enfin c'est pas le moment de s'égarer sur des sujets pas catholiques pour Alec donc on revient sur terre, on essaie de trouver son portable dans la poche arrière de son jean et on se la ferme. La meuf avec qui il prenait un verre? Pas vraiment eu le temps d'aller plus loin que le prénom et le reste. Elle s'est peut-être cassée la gueule lorsque la lumière s'est éteinte, qu'est-ce qu'il s'en fout après tout, c'est pas son problème à lui.  

    - Bon, y'a quelqu'un qui sait ce qui se passe ou j'en sais rien? On va pas attendre plantés là dix ans... J'ai des trucs à faire.


    Comme quoi exactement? La ramener chez lui et passer du bon temps, c'est le plan d'Alec en temps normal mais bon, déjà essayer de trouver des gens dans le noir. Portable en main, il allume la lampe de poche, essaie de repérer quelques personnes dans le coin, la fille a mystérieusement disparu... C'était quoi son nom déjà? Fiona? Alicia? Il sait plus franchement mais c'est le cadet de ses soucis. Dommage Alec, tu vas finir au pieu tout seul ce soir et de toute manière, c'est pas ses qualités de preux chevalier qui vont lui servir à draguer là et maintenant,... Tout ce qu'il veut c'est se barrer. Les cris plus loin se font entendre, le faisant diriger la lumière de son portable vers les portes qu'il pousse, sans succès. Coup d'épaule. Toujours rien.

    - Je sais pas si c'est une putain de blague mais ils se sont trompés de jour dans le resto, on n'est pas encore en avril. En tout cas ils auront pas les étoiles du service dans le guide Michelin c'est sûr. Y'a quelqu'un qu'a une solution ou on se regarde et on se tripote?

    Et maintenant ils font quoi? A part se tourner les pouces et essayer de trouver une solution. A croire que revenir dans cette ville c'était pas l'idée du siècle
    .
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Intrigue février, sujet number two _
MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyLun 17 Fév - 20:39

En allant récupérer son courrier dans sa boite à lettre, Kayden avait été plutôt étonné de voir cette enveloppe ou son nom et adresse était si joliment calligraphiée. Il la reposa sur le tas qu'il tenait dans les mains et monta chez lui pour s'asseoir dans son canapé et enfin ouvrir cette mystérieuse lettre. Il se trouvait que c'était une déclaration, une admiratrice voulant le rencontrer pour la Saint-Valentin. L'inspecteur ne fut pas très enchanté, il soupira même en lisant les mots et lança l'invitation sur sa table basse comme si c'était un vulgaire déchet. Quoi ? Tout le monde n'a pas une âme romantique surtout pour la Saint-Valentin, cette stupide fête commerciale qui oblige tous les amoureux à devoir se prouver leur amour. C'est vraiment d'un hypocrite... Un jour, si quelqu'un peut voyager dans le temps, il faudra qu'il aille trucider le type qui a eu l'idée géniale d'en faire une fête à fêter. Kay était peut-être de mauvaise humeur, car ce jour-là, il n'allait pas pouvoir voir Ivy. Il y a de forte chance pour qu'elle soit obligée de diner et passer la soirée avec Aaron, son mari. L'idée le répugna et ceci le rendit encore plus ronchon. D'ailleurs, il prit son téléphone avec la ferme intention de téléphoner à Ivy, mais il se ravisa en posant le regard sur l'invitation. Ce sera plus honnête de sa part de voir la personne en face et de lui dire clairement que ce n'est pas possible car son cœur est déjà pris. Le policier risque de passer pour un salaud, mais tant pis, qui ne s'est pas pris un râteau dans sa vie !

L'endroit était sympa et coloré aux couleurs du 14 Février soit du rouge. Ce n'était pas du gout de notre homme qui ne s'attarda pas très longtemps et trouva à une table la demoiselle qui l'avait invité. C'était une petite rousse, assez mignonne mais beaucoup plus jeune que lui. A la voir, elle devait avoir la vingtaine. Ce n'était clairement pas son genre de femme. En fait, il pourrait y avoir n'importe qui devant lui, même une actrice qu'il adore qu'il lui dira non. Son cœur ne bas que pour Ivy Winston et personne ne changera cela. Le jeune homme n'y alla pas par quatre chemins, il expliqua qu'il ne souhaitait pas s'engager dans une relation, car il était déjà avec quelqu'un. La demoiselle continuait de sourire mais d'une manière plus forcée ce qui le désola un peu. La discussion ne dura pas, car elle se leva et s'en alla, certainement trop humilié pour rester. Kay laissa sa tête tomber en arrière en se disant qu'il aurait mieux fait de rester chez lui, plutôt que de donner un faux espoir en venant. Il remarqua à une table son voisin, Locky. Hey, alors il a un rencard ! Vous pouvez être sûr que la prochaine fois qu'ils vont se croiser dans l'immeuble, il va le charrier le petit !

Les lumières s'éteignirent toutes d'un coup. Coupure de courant ? Les plombs auraient-ils sautés ? Comme toujours, les gens se mirent à agirent de manière idiote en se levant, criant et se bousculant pour trouver la sortie. Kayden se tapa la paume de sa main contre son front d'un air dépité. C'est bon, ce ne sont que les lumières qui se sont éteintes ! Le croque mitaine ne va pas surgir pour bouffer tout le monde. Après, un long soupire, il se leva et attrapa son téléphone portable pour mettre en route l'application "lampe de poche" et avoir de la lumière. Il attrapa également son insigne, mais garda son arme cachée sous sa veste dans son holster. Des gens frappaient contre la porte pour l'ouvrir mais celle-ci ne bougea pas. Ses sourcils se froncèrent, pourquoi les portes étaient fermées ? C'était le moment pour lui d'entrer en scène. "S'il vous plait, pas de panique. Ce n'est certainement qu'une coupure de courant. Je suis l'inspecteur Burnam." Il resta dans la porte et décida de téléphoner à ses collègues pour avoir des infos sur la situation. Aucun réseau... téléphone de merde qui ne marche jamais ! "Est-ce que quelqu'un à un téléphone qui marche pour téléphoner à la police ? Je n'ai aucun réseau ..."
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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyMer 19 Fév - 23:35


Léonard Cartwright était un paranoïaque. Un vrai.
Le genre de père à redouter chaque homme approchant ses filles, persuadé que c'est pour leur faire du mal.
Le genre d'époux à se méfier des moindres fréquentations de son épouse.
Le genre de maître de maison à veiller à faire une enquête approfondie sur quiconque souhaiterait franchir le pas de sa porte.
Le genre d'avocat à n'avoir confiance qu'en lui-même et certainement pas au reste du personnel judiciaire.
Léonard Cartwright était un vrai paranoïaque et les dernières années n'avaient rien arrangé. Sa profession l'avait amené à se méfier de tout, parfois de rien. Aussi quand il a reçu par la Poste une étrange missive à l'écriture élégante, il s'était méfié. Instinctivement. Les heures qui avaient suivi avaient été passé à retourner le papier satiné entre ses doigts, analyser en détail l’enveloppe et réfléchir à la suite des événements, à la démarche à adopter. Il savait que son rang et son pouvoir pouvaient attirer la gente féminine, comme masculine au demeurant. Il n'était donc pas spécialement étonné, juste suspicieux. Déformation professionnelle ou simple expression de sa nature première à son paroxysme ? Une part de lui lui avait dit qu'il se méfiait trop, qu'il voyait le mal partout. Peut être bien. Pourtant.

Le soir attendu avait fini par arriver. Les préparatifs de longue date avaient été menées à bien. Il ne restait donc qu'à entamer la traditionnelle soirée. Avant cela, toutefois, Léonard demanda à son chauffeur de le déposer au lieu indiqué sur l'invitation. Autant tirer cette affaire au clair, avant de poursuivre la soirée comme convenue auprès de son épouse. Les lieux étaient soignés, raffinés, peut être un peu trop décoré à son goût mais l'habitude de la mondanité avait rendu sa perception un peu trop exigeante. Il avait fini par trouver la raison de sa présence. Une charmante jeune femme qu'un rapide scanner de sa mémoire lui avait fait savoir qu'elle lui était inconnue. La méfiance poussée à son extrême. Il ne s'était pourtant pas départi de son sourire. La conversation engagée, intrigué, il avait tenté d'obtenir autant d'informations que possible. Une entreprise peu fructueuse. De quoi l'intriguer encore davantage. La courtoisie avait donc laissé place à une franchise et une instigation plus poussée. Il n'avait toutefois pu en connaître les aboutissants. Les lumières s'étaient éteintes. Soudainement. Le noir le plus total avait alors été rapidement ponctué par de faibles lueurs de lampe de poches. Elles s'étaient toutefois avérées suffisantes pour lui permettre de remarquer que sa charmante partenaire avait mis les voiles. Il se serait frappé s'il l'avait pu. Dieu sait que son instinct n'était pas du genre à le trahir. Voilà bien une faiblesse d'homme. La situation ne devait toutefois pas lui échapper. Il avait donc saisi son propre téléphone et noté alors que le réseau comme attendu était au point mort. Il s'était alors contenté comme les autres convives d'activer la fonction lampe de poche. Les cris et les bruits de coups contre les portes lui avaient indiqué que les gens avaient déjà commencé à paniquer mais aussi qu'ils semblaient bel et bien pris au piège. Mais dans quel but ?
La situation s'était éternisée. Il avait donc décidé de se lever à son tour, pour rejoindre la foule.

Les remarques fusaient de toutes parts, chacune y allant de sa teneur. Il reconnut plusieurs visages et ne put s'empêcher d'en être intrigué. Il devait toutefois reporter ses questions pour plus tard. Elles n'étaient pas vraiment urgentes, il fallait bien le dire. Un nom se détacha du flot des conversations plus ou moins paniquées. Celui d'un officier de police. Un nom qui, par ailleurs, ne lui était pas inconnu et pour cause, c'était celui de l'inspecteur qui cherchait des histoires à son gendre. Celui-ci lui confirma alors ce qu'il savait déjà. L'absence de réseau téléphonique. Il s'approcha plus en avant de ce dernier, préférant éviter les effusions de voix.

- Je doute que qui que ce soit en possède. Cela doit sans doute faire partie de la mascarade. De qui, là est la question. La suite ne me dit rien qu'y vaille. Léonard Cartwright, ajouta-t-il en s'approchant encore un peu plus - Enchanté de vous rencontrer, inspecteur, bien que j'eusse préféré que cela soit en d'autres circonstances.
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Benjamin Burton

Benjamin Burton
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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyJeu 20 Fév - 19:04

Benjamin remplace Marton pour une question de logique dans l'histoire Marton/June. J'espère que ça ne vous dérange pas...

La fête des amoureux?





Quand tu me vois
J'espère que tu vies l'enfer,
Quand tu croises mon chemin
J'espère que tu vies l'enfer,

Demain tu penseras à toi
Mais qu'est-ce j'ai fait de mal ?
Mais la liste continue encore et encore
Pour te dire la vérité, tu me manques
Pour te dire la vérité, je suis en train de mentir



C'était étrange tout de même, cette lettre anonyme. Ça ne ressemblait pas à Aby et je ne vois pas pourquoi elle m'aurait envoyé un truc si stupide au lieu de m'appeler. Non c'était sûr, ce n'était pas elle. Je rechignais toute la journée. C'était la saint valentin et je n'avais pas le moindre signe de celle que j'aimais. Vous me direz certainement que j'avais qu'à l'appeler, qu'elle pensait peut-être la même chose que moi... Peut être que vous avez raison, mais... C'était compliqué. Avec Aby, on était ce genre de couple libre, "moderne". Je détestais ça, mais j'avais préféré laisser cette liberté à mon amie de toujours plutôt que de la perdre. Comme c'était stupide. Je ne supportais pas de l'imaginer avec d'autres hommes, et je savais qu'elle en voyait beaucoup. Mais au fond de moi j'espérais qu'elle arrêterait... Bref. Tout cela pour expliquer pourquoi je me rendais au rendez vous donné par cette fichue lettre pour laquelle je n'avais pas le moindre intérêt. Ça me faisait plaisir que l'on s'intéresse ainsi à moi, mais ce n'était pas elle que je voulais ce soir... Je me rendais au rendez vous simplement pour essayer de ne pas craquer, de ne plus penser à Aby et en quelque sorte pour me venger de son comportement infidèle. Stupide. Je sais.

Je portais une chemise noire semi ouverte par dessus un pantalon blanc. Ces vêtements, comme tout eux que j'avais actuellement en ma possession, m'avait été offerts par Aby... Tout me la rappelait. Tout jouait avec mes nerfs... J'étais actuellement dans un taxi qui me déposa devant le fameux restaurant. J'avais le trac. Je m'en fichais du rendez vous, mais je pensais beaucoup trop à Abigail. J'avançai cependant d'un pas décidé vers l'intérieur. J'y retrouvai une jeune demoiselle, blonde, aux cheveux presque blancs, plutôt jeune, qui m'aborda, me confiant que la lettre venait d'elle. Je lui souris, lui confiai que sa lettre m'avait touché, puis on s'assit à une table. On commença à discuter un peu, et je me détendais petit à petit. Mais pas pour longtemps. Était-ce ma malchance qui avait sonné le gong? Sous le choc, je vois Aby arriver à la table d'à côté, accompagnée d'un autre homme. Elle me lance un regard choqué. Sous la surprise, j'hausse les sourcils et tombe de ma chaise en arrière. Je me relève rapidement en époussetant machinalement mes vêtements d'un air stressé. J'étais à la fois honteux d'être là avec une autre, et en colère qu'elle soit là avec un autre. Sous le ton de la surprise, une once de reproche dans la voix, je la regarde et m'exclame.

Aby!!! Tiens, c'est marrant que tu sois là... et... accompagnée?

Je lui lance un regard accusateur, près à m'emporter. Mais j'eus à peine le temps de finir que les lumières sautèrent d'un coup, nous plongeant dans le noir complet. Je lève machinalement la tête, comme si regarder le plafond allait m'aider. Les gens se mirent à crier et à courir partout. Je ne comprenais rien et en fait je m'en fichais. Je ne pensais qu'à elle. Quelques téléphones portables nous éclairent, me permettant de recroiser le regard d'Aby.

lumos maxima
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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyJeu 20 Fév - 21:00

Il aurait rêvé d’une meilleure excuse pour se débarrasser de sa compagne du soir qu’il aurait pas trouvé mieux que l’absence de lumière dans la salle. Pas qu’elle était pas jolie, elle était même carrément mignonne, le seul problème c’était que dès qu’elle ouvrait la bouche, tout de suite, ça devenait moins intéressant. Pourtant l’idée générale était assez amusante, à tel point que dès qu’il avait reçu son invitation, Zeke avait pas hésité une seule seconde et avait même passé le reste de sa journée à choisir les fringues qu’il allait porter ce soir. Sauf qu’une fois assit devant la gonzesse, il avait commencé à se dire qu’il aurait mieux fait d’aller libérer un panda du zoo avec Lee, ça l’aurait occupé et en plus il se serait beaucoup plus amusé que là. Enfin, les lumières s’étaient éteintes d’un coup, et le jeune homme était resté figé sur sa chaise l’espace de quelques minutes avant de comprendre que c’était sa chance de se débarrasser de son rendez-vous du soir. Sourire aux lèvres, il avait glissé une fourchette dans sa main, parce que le couteau se trouvait pas à portée de main et que quatre dents ça pouvait faire aussi mal qu’une lame, et se laissa glisser hors de sa chaise pour tomber à genoux par terre. La technique du poulpe mort. A quatre pattes, il coinça son arme entre ses dents, attrapa son téléphone, le glissa dans sa main et se mit donc à vadrouiller dans le restaurant en essayant d’esquiver les tables dont il se souvenait des emplacements avant le black-out. c’était amusant comme jeu, enfin pour lui s’en était un en tout cas et relevant le nez, il écouta à peine les discussions qui éclataient autour sauf quand un nom surgit. Leonard Cartwright. On merde. Pas lui. C’était bien sa veine, à croise que la poisse de Benjamin le poursuivait jusqu’ici, ou alors c’était la fourchette qu’il tenait qui était maudite.
Grimace au visage, il continua sa balade avant de se cogner dans un mur et de retenir un juron, en se massant le front, serrant su fort le manche de sa fourchette qu’il se blessa une dent. Suivant les lumières des téléphones, il en repéra une qui s’éloignait du centre et la suivit, toujours en position de chien et fonça un peu plus vite que prévu vers ce qu’il crut être la sortie et se colla lamentablement à la porte, et quand bien même la voix d’Alec annonça ce qu’il redoutait, Zeke le poussa en lui tapant les jambes pour le faire reculer et s’excita à son tour sur les poignées. Sa technique d’esquive s’avérait lamentable. Allumant son téléphone, pour éclairer son visage par le bas, il leva les yeux vers l’adulte en souriant bêtement.

Effectivement c’est fermé. Personne a une pince, une épingle, un tournevis, une perceuse, des explosifs ? C’est quoi ? Une espèce de remake de Saw ? Bientôt on va être enchainé les uns aux autres et il faudra couper la jambe de son voisin de gauche pour s’en sortir ?

Quelques lueurs de téléphone se dirigèrent vers lui et il leva les bras pour abdiquer. Apparemment son idée ne plaisait pas à tout le monde, tant pis il aurait essayé. S’appuyant contre les portes verrouillées, il plia les jambes et appuya ses bras sur ses genoux, essayant de capter du réseau pour envoyer un message à son père, sans succès, et sa batterie à lui commencer doucement à faiblir. Il avait oublié de le charger, il avait pensé à la caméra mais pas à ça.. Et ladite caméra était restée dans son sac qu’il avait laissé sur sa chaise dans la salle. Oh l’horreur, il se redressa d’un coup pour éclairer ses pas et retrouver sa place, bousculant les gens debout qui semblaient dans l’expectative.

Mais bordel, c’pas en restant debout comme des statues figées que vous allez servir à quelque chose les mecs.

Pas de réponse. Il se faufila entre les gens, et posa la main sur son sac pour le serrer. La fille qui normalement devait être assise à leur table n’y était plus, tant mieux, il aurait pas à lui expliquer pourquoi il avait profité du noir pour tenter de s’éclipser. Certes concrètement une caméra de ce genre ça servait à rien dans le noir, mais lui ça le rassurait de l’avoir contre lui. Repartant vers le spot où il avait laissé Alec, il s’arrêta en éclairant un visage, sourcils arqués.

Benji? Qu’est-ce tu fous là? Oh et heu.. Bonsoir..

Lança-t-il, avant de faire signe qu’il allait rejoindre les braves types dans l’entrée, l’ambiance trop étrange dans cette partie-là. Revenant vers Alec, il déposa tout les couverts qu’il avait récupéré sur les tables, des fois qu’une idée de génie leur traverse l’esprit à la Mac Gyver.
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Abigail Cartwright

Abigail Cartwright
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Intrigue février, sujet number two _
MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptySam 22 Fév - 14:39

Alec, Kayden, Léonard, Benjamin, Zeke, Mickey, Abigail, Elliott & Lochlan
Intrigue Février


U
ne invitation pour la Saint Valentin comment aurait-elle pu refuser ? Ah si peut-être parce qu’elle était à présent à nouveau en couple. Mais ils étaient libre non ? Elle avait découvert ça cet après-midi un verre de vin à la main. L’enveloppe avait retenu son attention, quand elle l’avait ouvert l’écriture était manuscrite et très belle, tout pour lui donner envie. Mais Abby avait hésité quelques temps avant d’y aller, après tout Ben allait peut être l’appeler pour lui proposer quelque chose ou peut être qu’elle devait appeler à son tour. Intérieurement elle attendait que Ben l’appel, mais plus le temps passé plus elle se rendait compte et toujours aucune nouvelle de lui du coup vexé elle se dit qu’elle irait là-bas au moins elle aurait quelqu’un avec qui passer la Saint Valentin et pas finir comme ces personnes déprimés que l’on voit broyer du noir toute la soirée.

Elle revêtu pour l’occasion une belle robe de soirée rouge, un peu tape à l’œil mais ça lui plaisait. Elle prit sa voiture et se dirigea à l’adresse indiquait, quand elle rentra dans la salle elle put admirer la décoration. Elle trouvait ça un peu kitch mais ça rentré dans le thème, pendant qu’elle admirait les environs un charmant jeune homme vint à sa rencontre lui disant qu’il était l’auteur de la lettre. Finalement la soirée allait être très intéressante. En se dirigeant vers sa table elle croisa Elliott, un sourire jusqu’aux lèvres arriva sur son visage elle lui fit un clin d’œil. Par contre quand elle arriva à sa table, elle fut choquée de voir qui était son voisin de table. Qu’est-ce qu’il faisait là, choqué Abby croisa le regard de Benjamin qui avait l’air de l’être tout autant qu’elle. Tout s’expliquait à présent voilà pourquoi il ne l’avait pas appeler. Piquer par la jalousie Abby resserra son bras autour de celui de son rendez-vous et assista à la scène de Benjamin qui tomba de sa chaise. Un sourire compatissant à son malheur Abby reprit un visage énervé et plein de reproche quand celui-ci osa lui adresser la parole, lui faisant plein de reproche. Elle le fusilla du regard.


- Je pourrais dire la même chose ! Tu aurais pu au moins porter un costume pour l’occasion.

Elle lui lança un regard plein de reproche et eut juste le temps de s’assoir avant que les lumières s’éteignent. Elle entendit tout le monde paniquer à cet instant elle pensa directement à retrouver Ben pour savoir si il allait bien. Quand elle croisa son regard grâce aux lumières des portable elle se dirigea vers lui en l’enlaça en lui chuchotant qu’ils parleraient de tout ça plus tard. Elle aperçut au loin un petit groupe se regrouper vers une porte d’entrée, elle attrapa la main de Ben pour l’amener avec elle jusqu’aux portes. Là aussi une surprise l’attendait, qu’est-ce que son cher cousin faisait ici. Il n’avait pas sa chère et tendre épouse qui l’attendait chez eux. Ce serait-il un peu décoincé avec le temps, elle avait du mal à y croire. Machinalement elle lâcha la main de Ben et s’approcha de Léonard.

- Et bien Léo qu’elle surprise de te voir ici, aurais tu décidé de mettre un peu de piments dans ta vie de couple ?

Elle savait pertinemment que cette petite phrase n’allait pas mettre son cher cousin dans une meilleure humeur mais elle ne pouvait pas s’en empêcher. Elle observa le petit groupe formé en souriant.

- Enchanté je suis Abigail Cartwright savez-vous ce qu’il se passe ?


Codes par Wild Hunger.
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Mickey O'Reilly

Mickey O'Reilly
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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyDim 9 Mar - 16:43

C'est forcé qu'il est pas à l'aise et vu sa tronche on peut même dire sans se planter des masses, que le tout le fait bien chier. Il caresse sa barbe d'un air blasé, se demande une énième fois qu'est ce qu'il fiche vraiment ici, et maudit tout le monde d'entrée. Et plus particulièrement la nana pas trop fraiche avec qui il a été casé. Elle a pas l'air d'en savoir beaucoup plus que lui, n'a pas trop le profil de la stalkeuse parfaite. Non pas qu'il s'attendait à grand chose, lui quand il a foutu les pieds ici, la carte d'invitation pas très jolie et un peu cheap planquée dans une de ses poches, c'était surtout pour avoir le plaisir d'insulter bran. Encore une fois. Parce que même maintenant, alors qu'il est forcé de conter fleurette à une nana juste un tout petit peu cruche, il est toujours convaincu que la grosse tête de vainqueur de son crétin d'ex va apparaître derrière une des cartes du menu avec une vieille répliques entre les lèvres du style : je t'ai bien eu. Mais il a pas ce plaisir là, parce que les lumières s’éteignent d'un coup sec et faudrait qu'il soit bien débile pour croire encore à un blague de bran. Au début c'était crédible, mais y a trop de monde ici et ça semble un peu trop ingénieux même si il sait pas trop ce qui trotte dans la tête de l'ex taulard, la plupart du temps. Il se serait pas donné tout ce mal pour le pécho, faut arrêter de croire au papa noël l'espace de 5 secondes et pas plongé la tête la première dans les histoires sans queue ni tête du père castor. C'est même pas quelqu'un de crédule, c'est juste plus sympa de croire que cette lettre dont vous n'avez pas grand chose à faire est une idée de votre ex, un blague foireuse ou quelque chose dans le genre. Avec la chance qu'il a, c'est peut être juste dit qu'il lui a foutu ça dans les pattes histoire de l'éloigner de la maison, mais il y croit pas trop. Il croit pas à grand chose, ce qui n'est pas le cas de sa compagne du moment, qui panique sans être vachement charmante, file déjà à la vitesse de la lumière en direction des portes, qui vu d'ici semble être un peu bloqué. Il bouge pas d'un pouce, regarde la scène qui frôle un peu le pathétique, des gens qui paniquent, un type qu'il reconnaît comme bossant avec lui et qui se présente d'une façon qu'il considère un peu pompeuse comme étant inspecteur et blablabla, un type à 4 pattes qui cherche à faire on ne sait quoi, à part jouer à cache cache, il voit pas. Ce qui reste pas une affaire facile, vu que tout le monde à eu la bonne idée d'éclairer la pièce avec son téléphone et que ce qui était sombre pendant une seconde est parfaitement visible maintenant. Il a pas l'intention de jouer le flic, parce que ça le fait chier, qu'il est pas en service et que tout le monde semble bien lourd mais le kayden commence à lui taper sur le système avec ses phrases toute faite et sa façon dénoncer tout haut ce que tout le monde avait déjà remarqué.

T'as fini ton speech captain obvious ? Elle est là la police ça se voit pas ?Il lâche ça d'un ton un peu sec, s'auto désigne et  se rapproche de kayden. Il est pas très aimable et un peu plus grumpy qu'en temps normal mais personne lui en tien rigueur et au final il s'en fout un peu. Il reprend la parole, vérifiant quand même son propre téléphone pour éviter de passer pour un con.  Et manifestement personne a de réseau, sinon ils arrêteraient tous de jouer à la lampe de poche et ramènerait la cavalerie tu crois pas ?

Il offre pas de solution, et n'a franchement pas l'intention de le faire, parce que c'est sûrement pas un drame, que ça va pas passer à enquête criminelle ou une connerie dans le genre. Il a juste le temps de s'allumer une clope, passe devant un groupe de gens qu'il connaît de nul part, avant qu'une voix beaucoup trop familière pour qu'il ne l'écoute pas le sorte (un peu) de sa mauvaise humeur légendaire. Il s'approche d'alec par derrière, se colle un peu contre lui juste pour répondre à ce qu'il a dit deux secondes plus tôt et parce que franchement, cet enfoiré lui a manqué. - Je sais pas toi, mais je suis pour qu'on se tripote, et le gamin à la caméra, il peut même filmer si ça le détend. Et il regarde le gosse, qu'il ne connaît pas non plus et qui dépose des fourchettes sur la table. La situation n'est pas tout à fait bizarre, mais le bûcheron, ça le fait plus marrer qu'autre chose et il fume sa clope jusqu'à l'arrivé d'une autre nana. Il se la joue pas flic, tente d'être aimable mais y 'arrive pas de masses et lâche un :

- Si on le savait on serait pas entrain de se tourner les pouces et de jouer à la dînette, si ?  Il se détache un peu Alec. Cet soirée c'était pas l'idée du siècle et il peut même pas blâmer bran pour ce désastre.
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Elliott Walker

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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyLun 10 Mar - 17:06


C’est en incorrigible romantique, que Elliott s’est rendu à la salle de réception. Cette lettre, qu’il avait reçu, lui a fait tourner la tête très facilement et il n’aurait pu passer à côté de cette soirée. Bien sûr, il ne sait pas du tout qui l’a invité et cette question le fait paniquer légèrement. Tout ce qu’il espère, c’est que ça ne soit pas un coup de son père, ou même de cet homme qui aurait pu être son beau-frère un jour. S’il devait se retrouver face à Alisha à cet instant, inutile de dire qu’il allait perdre tous ses moyens. Cette fille lui tourmente encore et toujours l’esprit malgré tous ses efforts pour l’oublier et d’autant plus en ce jour maudit. La fête des amoureux, mais lui, n’a plus d’amoureuse à célébrer. De quoi lui pourrir le cœur légèrement. Pourtant, le jeune homme essaye de ne pas vraiment s’en formaliser. Parce qu’il veut vraiment profiter de sa soirée et qu’il refuse de se laisser abattre encore une fois. Non. Cette soirée sera la sienne, quoi qu’il advienne. Une bonne soirée, un bon verre de vin et pourquoi pas, quelqu’un de complètement nouveau pour lui faire perdre la tête et faire battre son cœur.

Tout en finissant de se préparer, il secoue la tête à cette idée, pas certain d’être prêt à encore subir les affres d’un amour douloureux. Enfin après tout, s’il s’agit là de son destin, il ne crachera pas dessus, bien au contraire. C’est probablement la raison pour laquelle il s’habille avec autant de soin, se coiffe avec autant de patience et se parfume avec tant d’application. Si son âme sœur se trouve à cette soirée, on ne pourra pas dire qu’il n’aura pas tout fait pour la séduire. Finalement enfin prêt, il quitte la chaleur de son appartement pour se rendre à la salle de réception, souriant.

Déception pourtant, lorsque la jeune femme qui lui est attribuée, se révéle aussi intéressante qu’un poulpe mariné. Le pire dans tout ça, c’est qu’il a repéré, en rentrant, la silhouette de Leonard Cartwright. Inutile de dire donc, qu’il se sent un peu mal. Heureusement, le destin, encore lui, se décide à le sauver de son rencart désastreux en coupant le courant. Le noir soudain perturbe néanmoins le brun, qui se sent trembler légèrement. Bien sûr, le manque de lumière ne l’effraie plus depuis qu’il a dépassé les 8 ans, pourtant, dans cette situation, quelque chose le perturbe. Il met un nom dessus presque aussitôt, comme à chaque fois que quelque chose se passe mal… Sons of Liberty. Etrangement, il est presque persuadé qu’ils ont quelque chose à voir dans ce manque de lumière soudain et il sent la colère lui envahir. D’autant plus lorsqu’il entend les différentes paroles de ses compagnons d’infortune. Coupure de courant. Manque de réseau. Mascarade. Aby ? Saw… Jouer à la dinette… Autant de propos qui lui font se poser des questions et qui le font reculer dans un coin de la pièce. Loin de toutes ces torches improvisées, il essaye de calmer les mouvements désordonnés de son cœur et il essaye aussi de mettre de l’ordre dans ses pensées.

Ce foutu instinct est en train de le bouffer lentement et c’est à ce moment qu’il s’entend parler… Non, crier plutôt. Sons of Liberty ! Ces abrutis sont encore en train de faire je sais pas quoi pour nous faire chier avec leurs conneries ! Dis donc monsieur Walker, ce n’est pas très gentil ce que vous dites là ! Alors qu’Elliott parle, la porte de la salle de réception s’est ouverte en silence et dans l’embrasure se trouve un homme, qui vient de parler d’une voix forte, presque trop forte. Et là, le cœur du jeune Walker manque un battement. Pas parce qu’il y a un Son devant lui… Mais parce qu’il connaît son nom. Et ce n’est plus la colère que l’on peut lire dans ses yeux, mais la peur, indicible et implacable…
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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyDim 16 Mar - 19:19


Intrigue février, sujet number two





Quand on dit que la St Valentin ça se finit jamais bien, enfin on dit pas ça mais en tout cas c'est ce que pense tout le monde ici, sans aucun doute. Il s'agit d'une simple formalité, c'est du moins ce que les types portant des masques de Cupidon prétendent... Ils veulent faire passer un message. Lequel? Que les Sons sont invincibles cela ne fait aucun doute. Zeke et sa caméra sont bien placés pour filmer l'événement et faire comprendre à tout le monde qui ils sont. Rien de tel qu'un coup de couteau à Kayden pour impressionner... Puis Abi aussi, elle est médecin, alors lui faire un peu de mal n'a jamais tué personne, non? Ils sont tous les deux à terre, conscients pourtant mais blessés. Sans doute Elliott sera-t-il capable de les aider mais les Sons ont un autre plan pour ce jeune de bonne famille, comme faire passer un message à ses parents, ils ont besoin de fric, ce serait bien qu'ils leur en donnent s'ils veulent pas que leur fils termine dans un caniveau. Pareil pour Léonard, ce serait bien qu'il crache parce que ses filles seront la cible autrement. Pour ce qui est des autres?  Benjamin court aider Abi, même menacé par le reste des Sons. Alec, partisan des Sons, ça leur donne des idées, on lui file un truc à coller sur la devanture de son magasin de vinyles, les représailles il les aura sinon... Loukas tente tant bien que mal de foutre la merde, son arme de service en main (on est jamais trop prudent), touchant un des Sons à la cuisse. Quant à Mickey? C'est sans doute le meilleur moyen de faire comprendre aux flics qu'il veulent pas de lui dans leurs pattes alors après quelques coups, des papiers lui atterrissent dans les mains, des indices sur le prochain coup. Attrape-moi si tu peux, c'est ça le slogan des Sons. Et tout le monde repart sur son 31, enfin tout ça en refermant les portes, fuite de gaz à l'appui... Comment on fait maintenant?

HJ: Les Sons ont débarqué dans la pièce, armés et masqués. Après avoir lancé la caméra de Zeke, ils expliquent ce qu'ils veulent, pendant que la vidéo part directement sur Youtube. Tout le monde va être bientot au courant, et vous, vous êtes actuellement en train de subir leur jeu.

Fonctionnement :
+Comme vous êtes pas mal nombreux dans le sujet, un ordre de passage a été instauré, mais y a pas de soucis pour le changer si vous vous arrangez entre vous :
Loukas, Alec, Kayden, Leonard, Benjamin, Zeke, Mickey , Abigail, Elliott
+Pour chaque réponse il vous sera demandé un maximum de 800 mots, pas plus, histoire que les sujets restent rapides.
+Si quelqu'un n'a pas répondu, son tour sera passé après deux jours sans réponse.
+Le mj peut intervenir quand bon lui semble, ses interventions sont à prendre obligatoirement en compte.


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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyLun 17 Mar - 17:19

J'ai troqué Lochlann pour Loukas avec l'accord des admins  What a Face 


Intrigue février, sujet number two
Si je suis présent dans les lieux ce soir, c'est pas que je crois au pouvoir de cupidon, non. C'est juste que c'est une possible partie de jambes en l'air, avec de la bouffe au programme. Je vais pas dire non. Et peut être que j'aurais du parce que les choses partent vite en cacahuète, et je dois l'admettre, je ne suis pas des plus patients dans ce genre de situation. Ca commence par une coupure d'électricité, et un désordre sans nom parmi la foule. Je me la fermes et reste dans mon coin, j'ai envie d'une clope et je laisse mes collègues s'occupaient de gérer le cas de crise même si je peux pas m'empêcher d'avoir un sourire en coin, en entendant le barbu de mon cousin rembarrer l'autre flic de la situation. Bref la situation m'emmerde mais je m'affole pas tant que ca. Je préfère m'adosser à un mur et attendre de voir ce qui se passe au juste. Même si soyons francs, j'ai mes doutes. Les Sons. Sérieux, ces types commencent à me les briser sévère avec leur propagande à la noix, ils vont encore une fois m'obliger à me taper de la paperasse dont je me serais volontiers passé surtout sur un jour de repos. Et mes doutes ne tardent pas à être confirmer, en voyant les gugus envahir les parages. Je roule des yeux malgré moi. Je suis pas con, y a des civils, et ca risque de faire des dégâts, alors je caresse doucement la crosse de Roscoe, mon arme de service.

Et ca manque pas, les représailles physiques commencent à sévir, et j'arrête de rester dans mon coin, parce que ... - Putain, les gars, sérieusement ? Vous savez combien de temps, ca prends de remplir un rapport avec victime collatéral à l'appui ... Leur attention se porte légèrement sur moi, mais ils ne semblent pas vraiment s'intéresser à moi, et continue leurs quêtes du saint graal. Bon, pas vraiment le choix, si ils ne m'écoutent pas, ils écouteront surement Roscoe, ce beau gosse a toujours plus de succès que moi, je pourrais en être jaloux. Je dégaines mon arme, et vise un de ses enfoirés cagoulés dans la cuisse. - Oops ... Je fais un sourire en coin, presque amusé. Je peux comprendre pourquoi mon capitaine de brigade à envie de m'en mettre une.  - Non, mais .... sérieusement, c'est même pas drôle devoir utiliser mon arme de service, et avoir un blessé, c'est encore plus de papiers. Et moi qui espérait juste pouvoir m'envoyer en l'air ... Je pousse un soupir défaitiste alors que tout le monde me dévisage comme ci j'étais un taré et que je vais probablement me faire embarqué par ses zozos. Mais j'ai des collègues présents et si, y en a qui est un peu hors compétition, Mickey semble encore sur ses deux jambes.

L'avantage, c'est qu'ils oublient un peu les civils se trouvant dans la pièce pour s'en prendre avec des gens un peu plus apte à se défendre. Même si je suis lucide, et qu'ils nous surpassent numériquement. Je maintiens toujours mon arme de manière à ne pas me laisser surprendre par l'un d'entre eux, et mon dos près du mur m'évite une attaque sournoise par l'arrière. Je garde mon attitude de je m'en foutiste avant de rajouter, juste parce que pourquoi pas ... - Et dites, les mecs pendant qu'on est là, à se faire une petite réunion tupperware, y a pas moyen que je vous pose une ou deux questions, non parce que c'est que vous êtes sujets à enquête alors autant faire d'une pierre deux coups. Non, pas intéressé ? Ca coûtait rien de demander. Je devrais peut être la fermer moi de temps en temps, ca pourrait être utile mais au moins, l'attention est détourné assez pour que certains prennent soin des blessés.



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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyVen 21 Mar - 16:24

C'est pas qu'il soit tellement partisan de ce genre de fêtes. Ça lui donne plus envie de se pendre qu'autre chose en fait. Alec a jamais été très doué quand il s'agit d'offrir des fleurs et de chanter la sérénade. Non pas qu'il soit doué pour l'un des deux en particulier, ce serait même le contraire. Une catastrophe ambulante doublé d'un type sans tact. Merci bien, on s'en passera. Alors le fait qu'il soit là? Un pur hasard du moment. Une touche à travers son existence maussade ces derniers temps. Puis faut dire que ses compagnons d'infortunes sont pas des flèches non plus. Un coup d'oeil vers le flic qui se présente, Alec se contente de rouler des yeux... Il a jamais aimé les Walker Texas Ranger de bas étage alors il se la ferme, attend que le prochain se présente. Léonard Cartwright? Ouais, ça lui dit vaguement un truc. -C'est bien, tout le monde fait connaissance, on a le temps de prendre le thé aussi, non? C'est pas comme si on était pressé hein

La voix de Zeke le sort de sa rêverie, lui fait rouler des yeux un moment avant de se diriger vers le jeune homme, l'air de rien, attrapant son bras. -Je sais pas pourquoi on se retrouve là mais j'espère que t'as pas emmené mon fils pour un dîner romantique. Me regarde pas comme ça, ce serait bien votre genre. Merde, c'est quoi ce bordel?

Enfin bon, il a à peine le temps de se réjouir que déjà la voix de Mickey lui coupe les pensées en plein dedans et le fait sourire. Merde, au moins on sera sauvé, pas avec Capitaine Fracasse là-bas au loin que ce serait arrivé. Ça le fait à peine sursauter que Mick se colle à lui. Vous savez, eux deux, c'est le genre de type qui se font de la drague à deux balles pour prouver qui est le plus macho des deux... Bon, ça marcherait si Mick n'était pas gay. Après tout, c'est pas comme si Alec était son genre... Quoique. Bon, c'est pas le moment de se poser des questions existencielles. -Merde, t'as mis tout ça en scène pour me pécho? Je pensais pas que je te faisais autant d'effet. Enfin bon, sinon à part le film porno que t'as prévu de tourner t'as une idée de ce qu'on devrait faire? Je me repose sur le flic, c'est ce qu'ils font dans les films... Enfin sur toi, parce que l'autre flic m'inspire pas.

Ce serait bien de pouvoir s'allumer une clope dans ce genre d'endroit mais vu les conneries qui leur tombe dessus, c'est pas tellement le moment, right? Au fond, quand il voit les Sons débarquer dans la salle, y'a comme une lueur d'excitation, une boule dans le ventre qui se fait plus légère... Enfin ça, c'est jusqu'à ce qu'ils foutent le bordel, qu'il se retrouve à plein ventre avec une arme sur la nuque et la consigne de pas bouger s'il veut pas qu'il lui arrive des bricoles. Ha ouais, puis cette connerie de mettre une affiche sur son magasin. Il a jamais été connu pour faire ce qu'on lui dit... Même avec une menace de mort sur le dos? Ça reste à voir. La caméra de Zeke tourne. Il entend le gamin, Elliott s'il a bien saisi l'étendu de l'échange... Puis le reste est flou, le manque de lumière sûrement. Les Sons se barrent un à un, plus que l'odeur de gaz dans l'air, une confusion générale. Ça l'empêche pas de s'approcher de Mick, d'attraper son bras, l'air de pas savoir quoi foutre.  Bon, tu sais que je t'aime bien mais me dis pas que c'est le moment où on se serre dans les bras et on se dit que c'est la fin, j'ai encore deux-trois trucs à régler. C'est quoi ce bordel qu'ils t'ont donné anyway? Merde, ce serait con hein? La voix du mec à son oreille lui tape encore sur les tempes. Bordel, ça craint. Pas plus que le coup de feu qui résonne, qui fait se retourner Alec sur le type qu'a le flingue à la main. Bordel mais y'a combien de flics qui font la St Valentin? C'est juste inhumain là. Enfin, bien joué... Au moins, on en aura touché un. Il s'est toujours considéré comme un optimiste after all
.
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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptySam 22 Mar - 16:56

Comment croire que l'un des hommes présents ce soir et prit au piège allait être le père de d'Ivy. Il ne l'avait encore jamais rencontré et ne l'avait pas non plus vu. Il le connaissait seulement de réputation. Alors en entendant son nom, il cacha du mieux qu'il put sa surprise. Heureusement que les lumières étaient éteinte ceci le sauvait un peu. Assez rapidement, il passa au-dessus de sa panique. Il fallait se concentrer sur comment sortir et il ignora le gros "lourdaud" qui fit son entrée en scène d'une manière très déplaisante. Vous savez quoi, c'est rare, mais là il lui aurait bien mis son point dans la gueule pour s'être foutu de sa gueule de cette manière. Il y avait aussi une autre Carthwright dans le coin. Bon sang, c'était une réunion de famille ? Intérieurement, il espéra qu'Ivy ne soit pas dans le coin. Il avait envie de poser la question, mais ça serait trop suspect alors l'inspecteur resta silencieux.

Puis, une porte s'ouvrit violemment et laissa entrer un groupe de personnes masqués. Ils criaient, hurlaient pour faire respecter leur loi. C'est sans surprise qu'il comprit que c'était des sons. C'était certainement stupide, mais il sortit son arme et tira en espérant en abattre un. Avec le manque de lumière, il manqua le type et ne vit pas un autre gars arriver à côté de lui armée d'un couteau. Kayden esquiva et perdit son arme au passage qui lui échappa des mains en parant le coup. Un combat s'engagea entre les deux jusqu'à ce que le Sons parvienne à lui planter à deux reprises le couteau dans le ventre. L'inspecteur recula d'un pas avant de tomber à genou sur le sol. Ses mains se posèrent sur sa blessure et il n'eut pas besoin de lumière pour comprendre que le liquide chaude qui ruisselait de celui-ci était du sang. Le gars lui donna un coup au visage ce qui le fit tomber au sol.

Il se passa tout un tas de choses, mais il était trop occupé à s'occuper de lui pour y faire clairement attention. En rampant sur le sol, il parvint à mettre la main sur une serviette de table, laquelle il posa sur ventre pour faire pression dans l'espoir de stopper l'hémorragie. Une fois que les terroristes en eurent finit, ils quittèrent les lieux en laissant bien sûr une surprise. L'odeur de gaz n'échappa à Kayden qui tenta de se relever en vain. Il fallait faire évacuer tout le monde, très rapidement. Les portes étaient toujours verrouiller chose qui était gênante. Alors il eut une idée, peut-être qu'il y avait des conduits d'aération, ceux-ci sont peut-être assez grands pour laisser passer un être humain. Si c'est le cas, tout le monde pourrait sortir par là. "Hey ! Vous devriez chercher s'il y a des conduits d'aérations assez grands. Ça pourrait être notre unique porte de sortie." Si c'était le cas, lui ne pourra surement pas se mouvoir dans un conduit. Il était blessé et se vidait de son sang, à chaque mouvement il en perdait encore plus. Alors il devra attendre quoi qu'il arrive les secours à l'intérieur du restaurant et ça semble la même chose pour la jeune femme qui est elle aussi blessée.

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Benjamin Burton

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MessageSujet: Re: Intrigue février, sujet number two Intrigue février, sujet number two EmptyDim 30 Mar - 18:11

La fête des amoureux?





J'étais avec Aby, on ne se lâchait pas dans le noir, parce qu'on avait peur l'un pour l'autre. On comprenait pas ce qu'il se passait. Et pourtant... Que... S'est-il passé? Un mouvement de foule, des cris, la lumière qui se rallume, Aby n'est plus avec moi, je panique, je me tourne dans tous les sens à sa recherche, et quand je la vois enfin... Je vois une lame transpercer son ventre. Je n'arrive pas à crier son nom. Je n'arrive simplement pas a sortir me moindre son de ma bouche. Je suis tétanisé. Tout semble se ralentir autour de moi, je vois Aby tomber au sol et je me mets à courir en sa direction. Je sens des mains me retenir mais je fonce dans le tas. Mon coeur explose dans ma poitrine alors que je cours jusqu'à elle, me laissant tomber au sol à ses côtés. Je regardais le visage affaibli d'Abigail tandis que sur le mien pouvait se lire une extrême panique. Par reflexe, ne sachant quoi faire, j'appuie sur sa plaie avec une main, et avec l'autre, j'attrape la main d'Abigail. Mes yeux sont humides et emprunts d'effroi.

Aby! Aby dis moi ce que je dois faire!

Je n'arrivais pas à me montrer rassurant. J'aurais aimé lui sourire, lui dire que ça allait bien se passer, que j'étais là. Mais je n'ai pas réussi. J'avais bien trop peur pour elle. J'arrivais simplement à retenir mes larmes et à plonger mon regard bleu clair dans le sien en essayant de la maintenir en vie. J'avais envie de crier, de demander de l'aide, mais je ne voulais pas attirer les types qui avaient fait ça. Une haine montait en moi. Envers eux. Les sons of liberty avait dit un homme tout à l'heure? Décidément... Je les hais. Je veux être près d'Aby. Mais sans ça, je crois que je serais devenu fou et que je leur aurais sauté à la gorge. Mais pour l'instant j'étais paniqué à l'idée de voir Aby dans un tel état. La main recouverte de son sang, je palis à vue d’œil mais je suis bien là. J'attends ses instructions. J'étais prêt à tout pour la sauver. Mon regard était plongé dans le sien et prouvait ma détermination.
lumos maxima
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Intrigue février, sujet number two

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